[COLLECTOR TEST] Dragonball Z Budokai Tenkaichi 3

Bonjour à toutes et à tous. Aujourd’hui, le Collector Test nous parle d’un jeu Playstation 2 qui a fait les belles heures de la console et d’une saga de mangas culte : Dragonball Z. C’est avec plaisir que nous allons parler de l’édition collector de Dragonball Z Budokai Tenkaichi 3.

 

Avec son arrivée en grande pompe sur les consoles 128 bits grâce à Dragonball Z Budokai, la série d’Akira Toriyama passe à un niveau supérieur par rapport aux précédents titres de la licence qui étaient arrivés chez nous et qui proposaient une qualité souvent moyenne voir douteuse (comme l’épisode NES, Super Butoden ou Final Bout). L’histoire, le doublage avec les voix originales japonaises, les graphismes, la prise en main… Tout paraît frais (bon, peut-être pas l’histoire, mais sa narration), bien pensé, et le contenu est conséquent par rapport aux précédents jeux. On n’est pas encore à la perfection, mais la série édité par Bandai montre qu’elle peut répondre présente pour une nouvelle génération de consoles puissantes.

 

Le temps passe, les Budokai continuent à sortir, puis passent même à l’appellation « Budokai Tenkaichi » en 2005, proposant des graphismes plus cel shading (proche du manga), un nouveau système de combat, encore plus de persos (une soixantaine) et des aires de combat bien plus vastes qu’avant. Le succès est toujours au rendez-vous, et on repart pour une nouvelle trilogie. Et c’est du troisième épisode de la série Budokai Tenkaichi que nous allons parler, ou plutôt du collector PS2 qui lui a été réservé.

 

Le collector une fois déballé :

[COLLECTOR TEST] Superbeat Xonic

Bonjour à toutes et à tous. Pour cette semaine, le Collector Test sera sur un jeu de PS Vita, car oui, il y a des jeux qui sortent sur cette console, bien plus que ce que veulent nous faire croire la presse spécialisée et les revendeurs qui ont pignon sur rue. Il traitera du collector numéroté de Superbeat Xonic.

 

Quand on pense à jeux musicaux, qu’est-ce qui nous vient tout de suite en tête ? Just Dance ? Dance Central ? Parappa the Rapper pour les plus anciens ? Je ne parle pas de ce genre de jeux, où certes la musique est un point central du titre, mais qui ne sont pas vraiment considérés comme des jeux musicaux. Non, je parle de jeux comme Beatmania, Guitar Hero, Theatrhythm Final Fantasy ou Samba De Amigo. Ca vous parle un peu plus n’est-ce pas ! Je parle de jeux où il faut faire de la musique, la vivre, l’anticiper. Et on peut retrouver un jeu de cette mouvance sur PS Vita, la seconde console portable de Sony, avec un certain Superbeat Xonic.

 

Ce jeu, développé par le studio coréen Nurijoy, ressemble beaucoup à un titre arcade sorti au Pays du Matin Calme, mais propose pour la première fois un gameplay qui permet de jouer au jeu avec les boutons de la console ou avec l’écran tactile : une volonté d’être accessible pour tout le monde. Et pour cela, le jeu s’épaule de musiques électroniques allant de la JPOP à la musique de garage, en passant par la techno, la transe ou la musique classique revisitée, où le but est bien entendu de sortir une musique parfaitement coordonnée pour avoir le rang maximal. Certains adeptes du trophée platine se tireront les cheveux ! Vous l’aurez compris, ce titre met la musique sur un piédestal, il était presque normal qu’une édition collector sorte pour la mettre à l’honneur en dehors de ses parties endiablées sur portable, et ce fut le cas avec une édition collector limitée numérotée à 500 exemplaires.

 

Le collector une fois déballé :

[COLLECTOR TEST] Assassin’s Creed Unity

Bonjour à toutes et à tous. Le Collector Test de cette semaine ne sera pas sponsorisé par la primaire de la droite et du centre, et ne sera même pas sponsorisé du tout. Par contre, on va parler du collector d’un jeu se déroulant en France, et venant même d’un éditeur à l’origine français : Assassin’s Creed Unity, sur Playstation 4.

 

Assassin’s Creed, tout le monde connaît. Cette série de jeux d’action à forte tendance exploratrice, commencée en 2006 sur Playstation 3, Xbox 360 et PC/Mac, devait à l’origine être un nouvel épisode de Prince of Persia, mais est finalement devenu une licence à part et a connu un succès immense avec toutes ses déclinaisons sur les différentes consoles du marché et sur mobiles, qu’on en a mangé tous les ans pendant un petit moment, avec de très bons épisodes (Assassin’s Creed II, Brotherhood, AC IV Black Flag) et d’autres dont on se serait passé (AC III, Bloodlines…). La série a d’ailleurs récemment connu une petite pause qui, souhaitons lui (et souhaitons le pour les fans), soit bénéfique.

Et avec tous ces titres, se déroulant dans le désordre en Louisiane, à Florence, en Amérique du Nord ou encore à Istanbul, on pensait que la série commençait à faire le tour des destinations et des époques ; mais certains attendaient de longue date une arrivée des aventures des assassins et des templiers dans l’hexagone, au Moyen-Âge ou à la Renaissance, deux époques très en phase avec l’univers de la série, notamment par rapport à la trilogie de l’épisode deux (oui, il y a trois jeux pour Assassin’s Creed II). Et Ubisoft a enfin écouté ses fans pour son opus de 2014, le premier sur les consoles de la génération actuelle (la Xbox One et la Playstation 4, sans oublier une sortie sur Windows), avec Assassin’s Creed Unity, se déroulant durant la Révolution Française. Et pour tous ceux qui attendaient l’arrivée de la licence à Paris, un collector fut bien entendu disponible pour les trois supports, nommé « édition Bastille ».

 

Le collector une fois déballé :

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