Éditeur: Vivendi Universal
Année: 2001
Support: only for Gameboy Color
Il y a des icônes de la culture générale que l’on ne peut oublier, quelque soit le domaine. C’est ainsi que si on vous dit Popeye, Sophie la Girafe ou encore les Playmobils, vous voyez immédiatement de quoi je vous parle. Mais il y a une autre icône que vous connaissez tous, garçon ou fille, homme ou femme, grand-mère ou grand-père: Barbie. C’est en 1959 qu’apparaît cette icône des jouets pour enfants, et depuis il y en a eu des modèles, des dérivés, des contre-façons… Évoluant avec son temps, ce fantasme pour adultes et représentation misogyne a eu des accessoires et des aventures en rapport avec sa décennie: défilé de mode, voiture décapotable, amies, enfants…
En parlant des enfants, connaissez vous Shelly, la petite dernière de Barbie? Elle a eut le droit à sa propre poupée, mais aussi, preuve de son succès auprès du public, son propre jeu vidéo. Et c’est là qu’entre Barbie: Shelly Club, pour le meilleur et pour le rire.
Année: 2001
Support: only for Gameboy Color
Il y a des icônes de la culture générale que l’on ne peut oublier, quelque soit le domaine. C’est ainsi que si on vous dit Popeye, Sophie la Girafe ou encore les Playmobils, vous voyez immédiatement de quoi je vous parle. Mais il y a une autre icône que vous connaissez tous, garçon ou fille, homme ou femme, grand-mère ou grand-père: Barbie. C’est en 1959 qu’apparaît cette icône des jouets pour enfants, et depuis il y en a eu des modèles, des dérivés, des contre-façons… Évoluant avec son temps, ce fantasme pour adultes et représentation misogyne a eu des accessoires et des aventures en rapport avec sa décennie: défilé de mode, voiture décapotable, amies, enfants…
En parlant des enfants, connaissez vous Shelly, la petite dernière de Barbie? Elle a eut le droit à sa propre poupée, mais aussi, preuve de son succès auprès du public, son propre jeu vidéo. Et c’est là qu’entre Barbie: Shelly Club, pour le meilleur et pour le rire.
Sorti en 2001 sur Gameboy Color, Barbie: Shelly Club vous propose d’explorer l’univers du Shelly Club avec Shelly et ses copines dans huit activités avec pour chacune trois niveaux de difficulté: on va bien s’amuser dites moi !
Bon, en résumé, le but du jeu est d’organiser un spectacle de magie dans le club de Shelly. Pour cela, en incarnant Shelly, vous devrez retrouver ses huit amis et faire leur mini jeu: retrouver des lapins, des chats, des papillons… Une fois réussi, la jeune fille recevra son billet pour le spectacle de magie, donc vous avancez dans l’histoire, mais il faudra ensuite retrouver les instruments de magie qui vont bien, donc vous devrez refaire les niveaux avec une difficulté accrue. Rien de bien difficile à comprendre au niveau du scénario, faut dire que ce jeu n’est pas destiné à être disserté dans un amphi de Science Po (quoique…).
Bon, en résumé, le but du jeu est d’organiser un spectacle de magie dans le club de Shelly. Pour cela, en incarnant Shelly, vous devrez retrouver ses huit amis et faire leur mini jeu: retrouver des lapins, des chats, des papillons… Une fois réussi, la jeune fille recevra son billet pour le spectacle de magie, donc vous avancez dans l’histoire, mais il faudra ensuite retrouver les instruments de magie qui vont bien, donc vous devrez refaire les niveaux avec une difficulté accrue. Rien de bien difficile à comprendre au niveau du scénario, faut dire que ce jeu n’est pas destiné à être disserté dans un amphi de Science Po (quoique…).
Vous me direz « l’intérêt d’un jeu n’est pas forcément ses graphismes, ça peut être son gameplay, son replay value, sa musique… »… Euh, comment dire? C’est un jeu de Gameboy pour petites filles. Le jeu se plie aisément en une demie heure pour un joueur averti, qui ne rejouera pas à ce jeu (en admettant qu’il a eu le courage de mettre la cartouche dans sa console) ou peut-être le double pour une petite fille qui a eu ce jeu en cadeau de Noël (quelle chance…). Graphiquement c’est très stylé GBC: de la 2D avec des couleurs pastels et des détails suffisants pour que ça soit lisible, mais ce n’est pas pour autant que vous aurez un Zelda Oracle of Seasons! Au niveau des musiques, c’est très répétitif et enfantin, faut aimer, et je connais assez peu de gamers qui adorent ce genre de sons midi! Pour le gameplay… Passons, c’est plat, rigide, on passe son temps à appuyer sur A ou B et à utiliser les flèches au bon moment ; le seul moment qui vaut peut-être le coup est le mini-jeu avec les chenilles, en troisième niveau de difficulté, ça devient vraiment intéressant et stressant.
Comme dit, les mini-jeux sont le cœur de ce jeu (on en compte huit comme dit plus haut), certains sont d’une facilité limite frustrante (comme l’épreuve des lapins ou des fées), et vu qu’il n’y a pas de temps limite, l’intérêt est presque nul (sauf si vous voulez battre des records de temps; dans ce cas, essayez de vous renseigner pour savoir si d’autres masochistes essayent d’entrer au Guiness grâce à ce jeu).
Comme dit, les mini-jeux sont le cœur de ce jeu (on en compte huit comme dit plus haut), certains sont d’une facilité limite frustrante (comme l’épreuve des lapins ou des fées), et vu qu’il n’y a pas de temps limite, l’intérêt est presque nul (sauf si vous voulez battre des records de temps; dans ce cas, essayez de vous renseigner pour savoir si d’autres masochistes essayent d’entrer au Guiness grâce à ce jeu).
Verdict: Tester ce jeu, c’est l’adopter! Ah mince, je me suis trompé de test. Si vous n’avez pas de poupée Barbie chez vous, si vous n’êtes pas une petite fille de moins de 10 ans ou si vous n’avez pas de GameBoy (ou les trois réunis), passez votre chemin, ce jeu ne vaut pas la peine d’être testé même sous amphétamines!
bigvilo
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