[COLLECTOR TEST] Assassin’s Creed Unity

Bonjour à toutes et à tous. Le Collector Test de cette semaine ne sera pas sponsorisé par la primaire de la droite et du centre, et ne sera même pas sponsorisé du tout. Par contre, on va parler du collector d’un jeu se déroulant en France, et venant même d’un éditeur à l’origine français : Assassin’s Creed Unity, sur Playstation 4.

 

Assassin’s Creed, tout le monde connaît. Cette série de jeux d’action à forte tendance exploratrice, commencée en 2006 sur Playstation 3, Xbox 360 et PC/Mac, devait à l’origine être un nouvel épisode de Prince of Persia, mais est finalement devenu une licence à part et a connu un succès immense avec toutes ses déclinaisons sur les différentes consoles du marché et sur mobiles, qu’on en a mangé tous les ans pendant un petit moment, avec de très bons épisodes (Assassin’s Creed II, Brotherhood, AC IV Black Flag) et d’autres dont on se serait passé (AC III, Bloodlines…). La série a d’ailleurs récemment connu une petite pause qui, souhaitons lui (et souhaitons le pour les fans), soit bénéfique.

Et avec tous ces titres, se déroulant dans le désordre en Louisiane, à Florence, en Amérique du Nord ou encore à Istanbul, on pensait que la série commençait à faire le tour des destinations et des époques ; mais certains attendaient de longue date une arrivée des aventures des assassins et des templiers dans l’hexagone, au Moyen-Âge ou à la Renaissance, deux époques très en phase avec l’univers de la série, notamment par rapport à la trilogie de l’épisode deux (oui, il y a trois jeux pour Assassin’s Creed II). Et Ubisoft a enfin écouté ses fans pour son opus de 2014, le premier sur les consoles de la génération actuelle (la Xbox One et la Playstation 4, sans oublier une sortie sur Windows), avec Assassin’s Creed Unity, se déroulant durant la Révolution Française. Et pour tous ceux qui attendaient l’arrivée de la licence à Paris, un collector fut bien entendu disponible pour les trois supports, nommé « édition Bastille ».

 

Le collector une fois déballé :

[COLLECTOR TEST] Dragon Ball Z: Extreme Butoden

Bonjour à toutes et à tous. Un Collector Test une nouvelle fois très actuel pour cette semaine, avec le collector d’un jeu sorti il y a tout juste un an, à savoir Dragon Ball Z : Extreme Butoden sur 3DS.

 

Dragon Ball Z et les jeux vidéo, c’est une grande histoire d’amour qui remonte bien avant la série des Tenkaïchi. Si on remonte au milieu des années 90 sur Super Nintendo, on peut retrouver une trilogie bien connue des possesseurs de la console, heureux d’obtenir des jeux issus du manga de bonne qualité : Super Butoden, suivi de La Légende Saïen ou encore Ultime Menace et Hyper Dimension. Tous (sauf le dernier) sont issus de la même série que l’on connaît mieux sous le nom de Super Butoden au Japon, et on peut également compter l’épisode Megadrive dans cette série là.

Mais depuis décembre 94 en France, la série des Butoden s’est tue, l’impression de jouer comme si on regardait le dessin animé n’a pas eu de suite, et la 3D est arrivée. Mais tout n’était pas fini : en 2015, Bandai Namco décide ressortir un petit peu cette licence du grenier, en sortant sur la 3DS, la console portable de Nintendo, en sortant Dragon Ball Z : Extreme Butoden. On retourne à de la 2D à l’ancienne bien lissée, qui a sans doute fait plaisir à pas mal de vieux de la vieille et aux fans.

 

Et comme on ne pouvait pas s’y attendre, ce jeu a eu le droit à une version collector pour les fans adeptes de goodies !

 

Le collector une fois déballé :

[COLLECTOR TEST] Hitman Absolution

Bonjour à toutes et à tous. Pour ce nouveau Collector Test, regardons un peu du côté d’un des personnages principal le plus énigmatique de l’histoire du jeu vidéo : l’Agent 47, tueur à gages de la série des jeux d’infiltration Hitman. Et pour la sortie d’Hitman : Absolution, Square Enix a vu les choses en grand et propose un collector.

 

Hitman, enfin plutôt l’Agent 47, a permis à bon nombre d’adeptes des jeux d’infiltration pure de se faire la main pour agir en toute impunité sans être vu par les agressées, et il faut dire que le jeu dont il est le héros réussissait très bien sa mission, quitte à ne pas être très accessible pour les joueurs lambda. Après avoir eu le droit à quatre titres en 2000 et 2006, avec une évolution intéressante et surtout l’abandon de quelques missions bourrines issues du premier opus, la série fut un peu mise en pause, notamment suite à la revente d’Eidos à Square Enix. Mais grâce à ses derniers, la licence Hitman est revenue sur le devant de la scène vidéoludique (parce qu’Hitman en film…) six ans après Blood Money, avec Hitman : Absolution.

Et Square Enix a voulu fêter ce retour en grande pompe avec un jeu dynamisé et de bonne qualité, mais également pour tous les fans de la première heure une Professional Edition, pour les « professionnels » donc !

 

Le collector une fois déballé :

Fermer le menu